[vc_row woodmart_bg_position= »right-top » mobile_bg_img_hidden= »no » tablet_bg_img_hidden= »no » woodmart_parallax= »0″ woodmart_gradient_switch= »no » row_reverse_mobile= »0″ row_reverse_tablet= »0″ woodmart_disable_overflow= »0″][vc_column width= »1/3″][vc_column_text text_larger= »no »]La DNS Google quésaco ? LA DNS est le service qui s’occupe de transformer une adresse ip: 123.123.123.123, autrement appelé IPV4 en bon américain en « https://monsite.com ». L’ip date du temps des robes de ma grand mère mais c’est la seule façon qu’avait internet de trouver un site sur la toile. Avec l’explosion des sites c’est un système qui est à bout de souffle. L’IP V6 va bientôt s’imposer, avec à la clé tout un arsenal d’identifications plutôt intrusives. Mais c’est une autre histoire.[/vc_column_text][/vc_column][vc_column width= »1/3″][vc_column_text text_larger= »no »]Quand vous vous raccordez à un fournisseur d’accès internet, votre box se connecte automatiquement (il y aurait beaucoup à redire sur cet automatiquement) sur sa propre DNS (Domaine Name Server). En général la commande est : serveur DNS : 192.168.0.1 ou 192.168.1.1 A la rechercher du site « roymonde.com », le navigateur fait appel au serveur de DNS de votre fournisseur d’accès. Quel est l’IP v4 du site « roymonde.com » ? roymonde.com possède plusieurs ip fixes, mais celle qui héberge le site de formation sur lequel vous êtes en ce moment est : 83.166.157.28. Une fois cette requête résolue, les pages du site « https://roymonde.com » sont acheminées dans votre navigateur et le site s’affiche.[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column width= »1/2″][vc_column_text text_larger= »no »]Si vous interrogez votre Google préféré en quête d’une information précieuse, la DNS se met en branle. La requête pointe sur la DNS de votre fournisseur d’accès (Orange, Free, etc …). Le fournisseur d’accès a engrangé une solide base de réponses dans ses mémoires caches et vous restitue « son » maximum de réponses. Régulièrement les serveurs des fournisseurs d’accès se rafraîchissent auprès de Google. Mais Orange a beau avoir plus de salariés qu’Apple (cette information m’a toujours fait halluciné), plutôt que de s’adresser aux saints, il est préférable de s’adresser au bon dieu. C’est pourquoi je vous propose de remplacer dans vos réglages la DNS : 192.168.0.1 par les DNS de Google : 8.8.8.8 et 8.8.4.4. Si vous prenez le temps de tester des requêtes avec l’un et l’autre de vos paramétrages, vous constaterez des réponses beaucoup plus étendues, le plus souvent en dehors des réponses standardisées par la force de l’habitude. C’est un peu comme quand vous faite une recherche avec Bing. On a l’impression d’explorer des terra incognita. On est loin du Deep Web, mais il y a un certain charme à sortir des algorithmes d’Orange, un peu plus qu’un charme.[/vc_column_text][/vc_column][vc_column width= »1/2″][vc_column_text text_larger= »no »]La DNS de Google est un « service » gratuit ouvert depuis 2009. Il est tellement efficace qu’il s’est imposé m^me sur les téléphones. A regarder de plus près, on peut dire que la boucle est bouclée. Comme d’habitude, Google a plusieurs dizaines d’années d’avance sur la réflexions de ses utilisateurs. En proposant un service search, Google engrange les recherches des internautes. En proposant une DNS, Google engrange les visites des internautes. Reste plus qu’à une IA (un grand mot pour dire quelque chose qui a la force de l’habitude) de faire correspondre les uns avec les autres. D’augmenter le référencement des uns en sollicitant les intérêts pour les autres et si à chaque concordance, Google engrange du pécule, les vaches seront bien gardées. Votre référencement SEO aura beau être efficace, voire parfait, les pages se taperont contre un plafond de verre dans les résultats de recherches. Prenons le cas par exemple d’une maison d’édition qui publie une bande dessinée. Il y a trois identité irréductibles : un dessinateur, un auteur et un éditeur. Il paraît difficile de faire mieux pour identifier une bande dessinée. Comment Google fait-il pour excentrer la réponse ?[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column width= »1/2″][vc_column_text text_larger= »no »]Il existe toujours des solutions alternatives. Le plus souvent elle sont souvent moins intelligente, plus iconoclaste. Mais pour la DNS c’est l’inverse. Autant en profiter. Les adresses que je vous conseille sont 1.1.1.1 et 1.0.0.1. Le serveur de DNS appartient à la société Cloudflare. On ne le sait pas mais ce sont des poids lourds dans le domaine. Il est dit qu’ils traitent une quantité supérieure de données à Twitter, Apple, Intagram, Bing et Wikipédia réunis.[/vc_column_text][/vc_column][vc_column width= »1/2″][vc_column_text text_larger= »no »]Cloudflare garantit notre anonymat sur la toile. Bon cela n’engage que ceux qui y croient. Mais aux Etats-Unis, les citoyens ont un peu plus d’outils pour défendre leur liberté que nous autres franco-européens. S’il arrivait que Cloudflare … a vous de rechercher… sur Google search précisément.[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column width= »1/2″][vc_column_text text_larger= »no »]Il suffira que Google vende à un site du référencement payant pour que l’éditeur disparaisse derrière des vendeurs qui n’ont même pas le livre dans leur stock. Quand l’acheter recherchera la bande dessinée en question, Google augmentera le prix du référencement entre les sites marchands et aiguillera directement l’acheteur sur sa première page des « mieux achetants ». Les premières pages ne sont que la galerie des primes à l’échalotes. En une décennie, l’entropie est contenue au profit d’un « entre vous » auquel tout le monde concourt à adhérer.
Le plus réussit dans ce mécanisme, c’est que Google ne s’occupe que des 20% du haut du panier et que les 80% qui restent sont entrainés mécaniquement.[/vc_column_text][/vc_column][vc_column width= »1/2″][vc_column_text text_larger= »no »]Un jour vous avez un bon gars qui arrive à GooglePlex et qui se dit en sirotant son café. Bon, maintenant qu’ils sont tous dans la première page, comment je peux faire la différence entre ceux du haut et ceux du bas ? Un stagiaire dans le garage aurait pu proposer de développer une petite animation qui affiche la page de haut en bas mais il a été congédié, éliminé, pasteurisé et lyophilisé à temps. Notre bon gars se dit, je vais mettre en place le concept de ligne de floraison. Il y aura ceux qui sont tout de suite visibles et ceux qui devrons faire appel à un coup du pouce de l’internaute. Bingo ! le haut devient quatre fois plus cher que le bas ![/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column width= »1/6″][vc_column_text text_larger= »no »]roymonde.com
[/vc_column_text][vc_column_text text_larger= »no »]autres formations
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